Faire célébrer une Messe de Justification


Différence avec la première Messe

La première Messe a été célébrée pour qu’il y ait une grâce, pour que mon enfant puisse venir respirer en moi petit à petit et que cela devienne de plus en plus vrai, que l’Evangile de la vie puisse se déployer. Lorsque cette adoption est incarnée, frémissante, actuelle, vivante, féconde et efficace, l'enfant donne son nom, à ce moment-là une deuxième Messe, dite Messe de Justification, est célébrée.


La deuxième Messe est pour mon enfant seul : il est Présenté au Temple.

Pour être incorporé au Corps du Christ ... Pour la Justification par « Baptême eucharistique et mystique » ... Pour sa course vers l’Union transformante ... Pour sa Mission surnaturelle au Cœur de l’Eglise militante ... Pour sa Demeurance sous l’Autel du Cinquième Sceau de l’Apocalypse, pour qu’il y soit revêtu de la Robe Taler, en attendant que le nombre de ses compagnons soit au complet ... Pour sa destinée royale et mystiquement sacerdotale ... Pour sa mission prophétique dans le Cri Silencieux de l’Agneau ...

Pour en arriver là il a bien fallu du temps et de la grâce. Pour faire sauter les conséquences négatives de la conscience de culpabilité et les conséquences négatives du sentiment de culpabilité, ce que l’on appelle la névrose abortive , il a fallu revenir au réel de l’enfant qui lui sait patienter, attendre, prier, comprendre, avoir confiance et rester en gratitude.
Il a fallu même expliquer :

Vous savez, vous avez des enfants, vous en avez conçu et ils sont encore là, leurs cellules biologiques sont encore vivantes, elles sont leur présence biologique et personnelle encore vivante en vous : ils ne sont pas morts ; ils attendent leur véritable naissance, une autre naissance, préparée pour eux et… pour vous !

Ils vont enfin également devenir les membres vivants de notre Famille vivante : ils vont être justifiés, intégrés en Jésus et lavés de la tache très lourde du péché originel. Nous ne somme pas là pour leur donner la vie, mais infiniment plus : pour les engendrer à la vie SURNATURELLE, à la grâce sanctifiante, à l’envoi en mission dans une Union Transformante !

Une Célébration du Saint Sacrifice de la Messe les célèbrera au Ciel et sur la terre, avec leur prénom de Baptême eucharistique : c’est la deuxième Messe.

On peut dire que la première Messe, c’est l’entrée en catéchuménat , et la seconde l’Entrée dans le Corps mystique vivant de Jésus vivant , l’entrée triomphale dans l’Eglise spirituelle, dans l’Autel de la Rédemption du monde, dans l’Eglise Militante ! Alleluiah !

Jean Paul II a remercié les prêtres qui célébraient la Messe pour ces enfants et plus encore ceux qui les nommaient explicitement à chaque Messe au moment du Memento !

HOMÉLIE DE LA MESSE DE JUSTIFICATION DE PETITE MARIE

Homélie de la Messe de Justification de petite Marie


Parmi les effets de grâce que les enfants qui ne sont pas nés n’ont pas reçus, n’ayant pas reçu le Baptême, il y a deux de ces fruits que nous pouvons encore contribuer à envelopper les enfants et à faire pénétrer en eux pour qu’ils en resplendissent.

C’est ce que Jésus appelle à la Fin du monde en disant :
« J’étais nu et vous m’avez revêtu, vous m’avez habillé.
- Et quand est-ce que nous t’avons vu être tout nu et que nous t’avons revêtu ?
- En vérité, quand vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » (Matthieu 25, 34-38)

Ce revêtement n’est pas un Sacrement mais il relève quand même du Signe vivant de la Nativité. Il y a un revêtement de l’Intériorité sponsale de Marie et Joseph dans cette TransSpiration active du Père et du Fils comme Epoux et Epouse, et dans la Trinité de Dieu ils ont un Papa et une Maman. C’est exactement le contraire du Shiqoutsim Meshomem qui veut retirer le Papa et la Maman et qui veut retirer l’origine d’Amour de la Lumière.

Un enfant, nous pouvons lui donner la Justification et l’Incorporation.
C’est ce que nous faisons pour petite Marie aujourd’hui.

Petite Marie, tu vois, tu es déposée sur notre Autel et tout s’ouvre parce que nous avons pénétré à l’intérieur de ton cœur, nous avons pénétré à l’intérieur de ta conception, nous avons pénétré à l’intérieur de la dilatation de ton Oui, de ton Oui à l’existence, de ta liberté intérieure très pure, très vaste, très puissante, nous avons habité avec le monde angélique dans ce qu’il y a de plus grand et de plus fort en Dieu dans la plus petite petitesse des existences qui est le début de notre acquiescement au nom qui nous est donné, nous avons pénétré dans cette chambre nuptiale qui est la tienne, nous t’avons découverte dans le nom de Marie inscrit dans le Livre de la Vie et nous faisons surabonder la Lumière surnaturelle de la foi pour que tu sois ajustée à Jésus, que tu sois justifiée, que tu sois ajustée à Dieu, que tu sois ajustée à la Lumière née de la Lumière et que tu sois toi-même dans ton âme Lumière divine née de la Lumière divine et désormais inséparée de l’Emanation du Saint-Esprit dans cette Lumière née de la Lumière que tu deviens toi-même dans la Lumière surnaturelle de la foi.

Et voilà donc que s’efface d’un seul coup, comme une Absolution merveilleuse à l’intérieur d’une Flamme désormais inextinguible, la tache du péché originel.

Il y aura encore à offrir beaucoup, à recevoir beaucoup, à surabonder beaucoup, à être transformée surnaturellement et divinement beaucoup, mais voilà qu’ainsi arrachée au pouvoir de la réprobation éternelle par le Sang et le Nom de Jésus, voilà que tu es incorporée et transplantée. Par la foi nous disons à cette montagne de vie qui porte ton nom : « Arrache-toi et vas te planter dans la mer » et l’Arbre de la Croix de Jésus se plante dans tous les instants de ta vie pour que tu sois la terre qui porte l’Arbre de la Croix. Tu fais partie de l’Arbre de la Croix, tu es incorporée.

Sur les cinq effets du Sacrement de Baptême, l’enfant ne peut recevoir que ces deux effets. Marie est très heureuse de pouvoir recevoir cela par la puissance de la Messe. C’est un Baptême eucharistique. C’est l’Agneau qui baptise dans l’Esprit Saint et dans le Feu. Elle est incorporée dans l’Agneau comme membre vivant de l’Agneau. Elle est justifiée, elle est rendue juste, c’est-à-dire parfaitement ajustée à Jésus-Christ crucifié et du coup elle peut participer à l’Eglise militante, elle est incorporée.

Chaque nuit nous les baptisons de désir déjà – là c’est plus que le Baptême de désir – c’est-à-dire que nous réactualisons chaque nuit dans tous les enfants qui doivent vivre et mourir leur Oui originel. C’est comme les âmes du Purgatoire qui ne peuvent pas exprimer une larme de contrition sur des péchés qu’elles ont commis sur la terre s’il n’y pas quelqu’un qui vient en elle et exprime cette contrition en disant : « Ce n’est pas seulement horrible, ces péchés que tu t’étais permis de faire, c’est à pleurer des larmes de sang, et je pleure des larmes de sang que tu aies considéré que ces péchés-là c’était normal ». S’il n’y a pas quelqu’un qui va vers elle, l’âme du Purgatoire ne peut pas avoir une contrition pour ses péchés. C’est pareil pour les enfants. Il faut réactualiser ce Fiat originel de leur innocence qui s’est arrêté, et du coup ils peuvent éprouver et voir se déployer les grandes ouvertures des portes que ce désir de Baptême opère comme dilatation intérieure dans leur Mémoire de Dieu.

Ici, cette dilatation fait partie de la matière, mais la forme elle-même de la Justification et de l’Incorporation est vraiment dans le Cœur eucharistique de Jésus. Quand il y a des apparitions de Jésus Eucharistie, quand l’Hostie se déploie et qu’on voit Jésus dans l’Hostie, c’est toujours un enfant. Je pense par exemple à une amie qui à chaque fois qu’elle allait à la Messe – elle pensait que tout le monde le voyait comme elle – voyait un petit enfant qui se promenait dans les travées de l’Eglise de l’Immaculée Conception et venait s’asseoir sur ses genoux, et puis au moment de la Consécration l’enfant sautait de ses genoux en disant : « C’est le moment, je dois partir », courait vers l’Autel, grimpait sur l’Autel et au moment de la TransSubstantiation s’incorporait et disparaissait dans l’Hostie. Et c’est à ce moment-là que l’Hostie est brisée, déchirée : Jésus crucifié.

L’Eucharistie est vraiment le lieu de la Rédemption embryonnaire du Fils Unique de Dieu dans la Justification et c’est ce qui permet d’éclore ensuite dans un Baptême qu’on appelle le Noël glorieux, qui lui est le propre des surabondances du Noël du cinquième Sceau de l’Apocalypse. Là oui, un seul suffit. C’est un à un, c’est bien évident, parce qu'un seul suffit à entraîner tous les autres. Comme le dit la Messe : « Pro se suisque omnibus », c’est pour toi et c’est pour tous ceux qui sont comme toi, et pour tous les tiens, « pro redemptione animarum suarum », pour la Rédemption de ton âme, « pro spe salutis », pour l’espérance du Salut, « et incolumitatis suae », et ta croissance dans la sainteté ineffable jusqu’à ce qu’elle atteigne sa plénitude, « tibique reddunt vota sua aeterno Deo vivo et vero » désormais d’avoir atteint le Cœur Intime et Substantiel, Hypostatique de Dieu.

Nous célébrons cette Messe de Justification. Ce n’est pas un Baptême d’eau, mais c’est dans le Baptême de désir, à l’orient, à l’occident, au septentrion et au midi. Que ce Baptême de désir s’épanouisse et s’ouvre dans le Nom que Dieu vous a donné en Jésus-Christ Notre-Seigneur.

« Jésus, Marie, Joseph, je vous aime, ayez pitié de nous, sauvez toutes les âmes. Amen. »

Petite Marie, que ce Baptême de Feu vous dépose sur cet Autel dans le Nom qui vous a été conféré pour être transportée et incorporée dans l’Agneau de Dieu dès cette terre pour que votre existence soit un Noël perpétuel, immortel, jusqu’au Noël glorieux de Notre-Seigneur Jésus-Christ entier et vivant. Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.


TÉMOIGNAGE DU PÈRE JOSEPH, UN PRÊTRE PRÉCURSEUR

(Témoignage donné par René Lejeune)

Guérison bouleversante d'une mère


Elisabeth était enceinte, elle en fit part à David, mais la réaction de l'homme fut brutale ; elle préféra perdre son enfant plutôt que son amant. Plus tard, son accablement proche du désespoir l'a poussée à se rendre dans une église. Dans la nef, un vieux prêtre passait à sa hauteur, et comme mue par une poussée irrépressible, elle se leva et demanda au prêtre si elle pouvait se confesser. C'est là qu'elle dévoila au prêtre sa vie brisée, son immense détresse ; le vieux prêtre lui confia qu'il venait d’offrir sa vie à Dieu en réparation de ce crime abominable de Satan qui blessait un si grand nombre de femmes.

Elisabeth écoutait ses paroles entrecoupées de tendres :

"Mon enfant", "Ma petite enfant" ou encore "Ma pauvre petite enfant". Peu à peu le visage de la femme s'inondait de larmes ; plusieurs fois elle ne put réprimer un profond sanglot, mais ses larmes effaçaient peu à peu son malheur. C'était à la fin des larmes de joie : pur bonheur qu'elle n'avait pas connu depuis longtemps. Il lui était proposé de revenir pour une démarche de totale réconciliation "avec Dieu, avec vous-même, avec votre enfant". Elisabeth sortit de là comblée d'une joie grave et de certitude nouvelle, elle avait envie de chanter.

Lorsqu'elle revint, Marina l'accompagnait, son amie qui avait, elle aussi, eu 3 enfants avortés... La deuxième Confession fut un flot de grâces dont le Seigneur les combla et Elisabeth fut cette fois sans larmes mais comme submergée intérieurement de bonheur. Marina, elle aussi, avait l'impression de marcher sur un nuage... légère comme un oiseau à la sortie du confessionnal. Alors le Père leur expliqua que dans l'au-delà, ces petits attendaient d'être reconnus par leurs mères et enveloppés de leur amour, ils tenaient infiniment au rétablissement du lien d’amour qui les lie à leur maman ; pour cela, les mamans devaient d'abord donner un nom à ces enfants. "Le nom, c'est le reflet de l'âme", leur dit le Père, "et nommer un enfant, c'est le faire naître aux yeux du Monde ; et vous, les mamans, en leur donnant un nom, vous établissez formellement avec eux, le lien de la vie".

Le Père suggéra aussi aux femmes de trouver un vrai père adoptif et il leur conseilla St Joseph, d’autant plus que, par ce choix, elles seraient pour ainsi dire, intégrées dans la Sainte Famille de Nazareth.

D'autres occasions leur permirent de recevoir des enseignements simples, clairs et chaleureux sur la Miséricorde de Dieu et la Communion des Saints, le pouvoir de lier et de délier, accordé par le Seigneur à Pierre et ses successeurs, sur le Sacrement de Baptême et ses suppléances : le Baptême de sang et le Baptême de désir… Qu'il importe que les mamans, dans le repentir et la réconciliation, implorent l'Église d'accorder le Baptême à leurs enfants : "Comptez sur l'infinie Miséricorde de Dieu" insistait le Père, car si l'Église n'a pas encore explicitement accordé le Baptême de sang et de désir aux enfants que leurs mères retrouvées lui présentent, ne convient-il pas de s'en remettre au Dieu d'Amour qui veut attirer à Lui le plus infime élan d'amour jailli d'un cœur humain ; et ce sera le cas pour un enfant, victime tragique d'un refus de vie, qui n'a que sa maman réconciliée pour confier sa détresse au Seigneur (sa maman ou, à défaut, une autre personne proche par le sang ou par le cœur).

Le grand jour arriva enfin... Les victimes de l'avortement, l'enfant immolé et sa mère ou sa famille en quête de réconciliation, éprouvent ce besoin imprescriptible de puiser dans le trésor inépuisable de la Miséricorde que l'Eglise s'est vue confier par le Seigneur, Maître de toute vie. Le vieux prêtre prit donc l'initiative d’une cérémonie, déployée dans le cadre de l'Eucharistie, pour consacrer les enfants à la grâce du Christ et de l'Eglise.

Au début de la Messe, il leur dit :
"Avez-vous pleinement conscience de la présence parmi vous des quatre petits que vous avez perdus ?"
"Regrettez-vous de tout cœur d’avoir demandé ou accepté qu'on les sacrifie ?"
"Etes-vous prêtes à vous réconcilier avec le Seigneur, avec vous-mêmes, ainsi qu'avec ceux qui vous ont infligé des blessures ?"
Un sanglot de bonheur secoua, à ce moment précis, le sein d'Élisabeth ; Marina ne put retenir ses larmes. Un petit espace du Paradis se recréait à la lueur du cierge que chacune tenait dans la main. Les voici réconciliées et déjà guéries intérieurement par la célébration de l'Eucharistie, sommet de toutes les actions sacrées de la vie chrétienne et de la vie tout court, de par l'univers.

A l'Offertoire, ce sont les enfants eux-mêmes qui furent déposés par le cœur de leur maman et par le prêtre devant l'Autel du Sacrifice divin :
"Etes-vous prêtes à accueillir dans la tendresse de votre cœur de maman, Marie-Pierre, Jean-Marie, Marie-Noëlle et Marie-Maximilien ?"
"Demandez-vous à Dieu, de toute votre âme, avec toute la puissance d’une prière ardente, qu'Il veuille bien accueillir en Son Cœur, vos enfants ?"
"Demandez-vous en même temps à la Sainte Eglise qui accueille votre désir bien réel qu'elle veuille bien incorporer chacun de vos enfants dans son sein, pour les offrir à l'Agneau immolé, l'unique voie qui mène au Père des Cieux ?"
"Suppliez-vous la Sainte Eglise qu'elle vienne à reconnaître chacun d’entre eux, si elle le veut bien et quand elle le voudra, comme un de ses membres ?"

Les "oui" de Marina étaient ponctués de larmes de reconnaissance, habitée qu'elle était alors par une sorte de ravissement semblable à une parcelle d’éternité. Avec Elisabeth, elle répondit radieusement "oui" à la question finale :
"Voulez-vous choisir Saint Joseph comme Père adoptif de vos enfants ?"

Après cette intense et unique préparation, elles vécurent la Consécration et la Communion comme un sommet de l'existence. Dès lors, elles se sentaient rajeunies, régénérées, des femmes nouvelles recrées en Jésus, le Sauveur qui demeurerait désormais en elles. Elles sentaient bien qu'elles n'auraient plus à souffrir de la soif angoissante que, livrées à elles-mêmes, elles auraient été incapables d’étancher.


Six mois après cette Eucharistie inoubliable, le vieux prêtre rendait sa belle âme à Dieu.
Dans l'église remplie de fidèles, on était sûr de raccompagner un Saint à sa dernière demeure.

"Les 9 étapes de cette nouvelle vie..."
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